Fabriquant de matériaux de construction

Depuis plus de 75 ans, le groupe CS a fait sien le principe de fournir les meilleurs produits et services à ses clients dans le monde entier. Pour garantir que nos entités et nos produits répondent aux normes les plus élevées, nous nous sommes engagés dans un processus de certification ISO. Ce processus implique des tests et une vérification rigoureuse de nos opérations pour en garantir sécurité et fiabilité. Nous pensons que cet engagement nous aidera à fournir de meilleurs produits et services à nos clients, tout en nous assurant que nous respectons toutes les exigences réglementaires.   Le groupe Construction Specialties, reconnu pour sa culture de l’excellence, vient d’atteindre un autre niveau de qualité et de sécurité avec l’obtention des certifications ISO 45001 pour CS France et CS Royaume-Uni.   La certification ISO 45001 garantit que les travailleurs des sites CS suivent les meilleures pratiques de sécurité et de santé au travail. Ces certifications aident également le groupe CS à garantir un haut niveau de sécurité à ses collaborateurs, à optimiser les activités de santé et de sécurité et à améliorer l’efficacité organisationnelle. En s’engageant à assurer la sécurité et le bien-être des membres de ses équipes, le groupe CS est passé à l’action et obtenu la certification ISO 45001 pour CS France et CS Royaume-Uni, en addition de leurs certifications ISO 9001 et 14001.   Les autres entités Européennes du groupe, en l'occurrence CS Italie, CS Allemagne et CS Espagne, ne sont pas en reste, car elles valident les certifications ISO 9001 et 14001et nous sommes impatients de les voir poursuivre leur cheminement vers l'excellence dans tous les aspects de leurs opérations.

La principale fonction des grilles de ventilation architecturales consiste à laisser entrer et sortir l'air d’un bâtiment ou d’un local CVC. Cela empêche les équipements mécaniques et électriques de surchauffer, contribue à une meilleure efficacité énergétique et aide à maintenir un environnement sain pour les personnes utilisant les locaux.   Cependant, comme nous le savons tous, la météo peut être très imprévisible, et si elles ne sont pas adaptées, les lames des grilles de ventilation laissent passer plus que de l’air.   Avez-vous vu les prévisions météorologiques ?   L’infiltration de pluie par les grilles de ventilation dans certains bâtiments peut s'avérer problématique, et ce, d'autant plus lorsque ce phénomène est répétitif. L'intrusion d'eau résiduelle lors d'une averse légère peu être acceptable, mais c’est une autre histoire lorsque de fortes précipitations, généralement accompagnées de vents violents, s’abattent sur la façade et pendant une période prolongée.   Lorsque la pluie est projetée par le vent contre un bâtiment, des gouttes peuvent s'infiltrer à l’intérieur en même temps que le flux d’air. Ce phénomène peut endommager les équipements sensibles ou électroniques, surtout si ils sont situés à proximité des grilles et engendrer des opérations de maintenances longues et des réparations coûteuses.   Le rôle des grilles de ventilation pare-pluie   Heureusement, il existe des moyens qui annule le risque d’infiltration de pluie à travers les grilles de ventilation.   Une approche classique consisterait à prévoir une zone soumise à la collecte et à l’évacuation des eaux de pluie.   Cependant, il existe également des solutions plus modernes : les grilles de ventilation pare-pluie.  Conçues pour offrir une protection optimale contre la pluie, les grilles de ventilation pare-pluie constituent une solution adaptée face au risque d'intrusion d'eau de pluie. Elles offrent aussi une efficience spatiale en évitant de réserver une zone derrière, des grilles de ventilation classiques, pour la collecte et le drainage de l'eau.   Voir les choses sous un autre angle   Chez Construction Specialties (CS), nous cherchons toujours comment nous pouvons simplifier la vie de nos clients.  Nous ne donnons pas de réponses universelles, nous préférons proposer différentes solutions, qui soient toutes adaptées en fonction des défis à relever.   Nous savons que nos grilles de ventilation horizontales offrent une bonne protection contre la pluie et un débit d’air élevé, mais nous comprenons également que certains bâtiments peuvent nécessiter des performances accrues et des configurations esthétiques différentes. Pour répondre à ces besoins particuliers, il était nécessaire de voir les choses sous un nouvel angle, c’est-à-dire d’un point de vue vertical !   Découvrez notre gamme de grilles de ventilation pare-pluie verticales   Nous sommes toujours ravis de proposer de nouveaux produits à nos clients.  Nous innovons parce que nous voulons nous assurer que chaque personne qui s’adresse à CS obtient une solution conforme à notre engagement : améliorer la durabilité, la sécurité et le confort des ouvrages.   Avec notre gamme de grilles verticales spécialisées, nous sommes partis d’une hypothèse simple : des lames verticales offriraient une meilleure résistance à l’infiltration de pluie poussée par le vent qu’une conception horizontale.   De là, nous avons conçu une gamme de grilles de ventilation verticales avec différentes formes de lames qui nous permettraient non seulement de conserver une classification de protection contre la pluie élevée, mais améliorerait également le débit d’air. C’est ainsi que nous avons créé le modèle RS-5605, la grille la plus performante de cette catégorie.   Testée et vérifiée selon la norme EN 13030   Tous les modèles de grilles de ventilation architecturales verticales de CS répondent aux attentes de nos clients en termes de qualité, de style, de choix et de rentabilité. En outre, nos grilles sont conçues sous forme d’unités modulaires préfabriquées afin que l’installation soit rapide et facile.   De plus, les performances de nos grilles ont été vérifiées par des tests indépendants selon la norme EN 13030, ce qui permet aux clients d’identifier et de choisir en toute confiance la solution la plus adaptée à leurs besoins*.

Utiliser et planifier la lumière naturelle   Référence en architecture, la lumière est un élément naturel et libre qui impacte l'apparence et la perception de tous les volumes de l'ouvrage : de son enveloppe aux détails de sa conception intérieure. Changeant au gré des saisons et des heures et véritable vecteur de clarté, l'ensoleillement a aussi la faculté d'impacter la perspective des éléments constitutifs comme la décoration et les couleurs adoptées au cœur de l'ouvrage.   En architecture, la lumière naturelle fait partie intégrante de la conception d’un bâtiment, tel un matériau de créativité, c'est surtout une véritable plus-value à l'ouvrage grâce à son influence sur le confort, la santé et l’humeur des usagers. Ces vertus sont d'autant plus plébiscitées dans les bâtiments de vie, les lieux dévolus à l’activité humaine comme les bâtiments résidentiels, les bureaux et des bâtiments d'enseignements.     Les bienfaits de la lumière naturelle dans les établissements scolaires Pourquoi favoriser la lumière naturelle ?   La lumière naturelle est une référence pour l'horloge biologique de l'Homme, elle rythme le cycle circadien et elle est aussi essentielle pour capter les informations visuelles. Sachant que ​80 % des informations apprises​​ passent par la vue, il apparaît nécessaire, tant sur le plan biologique que pédagogique, que les établissements de l'enseignement privilégient une luminosité suffisante et naturelle.   ​​ Une enquête européenne​ menée par l’UPMC (Université Pierre-et-Marie-Curie) et INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) dans 57 écoles (148 classes) en Europe, révèle que la qualité de l’éclairage naturel dans les salles de classe a un impact notable sur les performances scolaires des étudiants. Les scientifiques en ont conclu que les élèves travaillant dans des salles ou la surface vitrée est plus importante, obtenaient des résultats 15 % supérieurs aux tests de mathématiques et de logique, dû à l’abondance de lumière naturelle et à un sentiment de confinement réduit.​   L'étude britannique, Clever Classrooms, réalisée dans 27 écoles souligne, elle aussi, l’influence sur l’apprentissage que peut avoir l’apport de lumière naturelle, la qualité de l’air et la température dans la classe.De tous les paramètres de conception considérés, c'est l'éclairage qui a l'impact individuel le plus fort. L'étude met en avant les avantages de l'ensoleillement lorsqu'il est maîtrisé des risques d'éblouissement, à l'aide de stores occultants ou de protection solaires extérieures.   Le confort reconnu par les organismes européens de normalisation   Adoptée en 2018, la norme EN 17037, est la première norme européenne sur la lumière naturelle dans les bâtiments. Elle préconise des recommandations minimales en termes de quantité de lumière naturelle à atteindre pour le confort de l'ouvrage. Au-delà de ces recommandations quantitatives, son périmètre introduit d’autres aspects sur la lumière naturelle, comme l’exposition à la lumière directe du soleil, la protection contre l’éblouissement et la vue vers l’extérieur.   Maîtriser la lumière naturelle : les solutions contre l'éblouissement   De nombreuses études l'attestent, la lumière du jour bien exploitée est irremplaçable. Rien n’est comparable ni ne procure un tel sentiment de bien-être que la lumière du jour. Certains produits sur le marché visent à exploiter les caractéristiques bénéfiques de la lumière du jour, tout en évitant ses aspects négatifs comme l’éblouissement, la réverbération sur les écrans et le réchauffement incontrôlé d’une pièce.   Faciles à mettre en œuvre, les stores occultants sont pratiques pour l'utilisation de vidéoprojecteurs ou pour éviter les reflets sur les écrans d'ordinateur, mais leur utilisation implique une coupure avec la lumière naturelle et impose l'usage d'un éclairage artificiel compensatoire. Tandis que des brise-soleils extérieurs régulent l'excès de luminosité sans pour autant priver la pièce de la lumière naturelle et de ses bienfaits physiologiques.   Composé de lames profilées en aluminium, le dispositif brise-soleil Airfoil® présente quant à lui l'avantage d'être modulaire et totalement personnalisable. Les protections solaires fixes peuvent être montées en auvent projeté, mises en œuvre en façade (brise-soleil horizontal ou vertical, lames couchées ou debout) ou encore proposer un montage d'angles en auvent projeté.   Les thermolaquages RAL sont labellisés QUALICOAT et QUALIMARINE. Les lames en aluminium peuvent-être ovoïdes, et sont communément appelées lames ailes d'avion, ou rectangulaires. Pour offrir plus de performance à l’ouvrage, elles peuvent intégrer des solutions d'isolation phonique ou des leds.   Sur le plan énergétique, qu’ils s’agissent de stores occultants ou de brise-soleil architecturaux, les deux solutions limitent l'excès de chaleur lié à la réverbération du soleil et concourent à limiter les besoins en climatisation. Contrairement au brise-soleil, le store occultant requiert une action humaine et répétitive. Cette condition ne permet pas d'inscrire les stores comme un dispositif fiable et durable.

Nous sommes persuadés que la meilleure sensibilisation est l’action et que montrer l’exemple est une bonne méthode pour faire changer les habitudes sur le long terme. Proposer des actions concrètes dans lesquelles nos collaborateurs peuvent s'investir est une volonté forte insufflée par le groupe Construction Specialties. En qualité d'entité française du groupe, nous sommes fiers de participer et relayer des initiatives exemplaires afin d’éveiller les consciences.   Dans le but de fédérer et mobiliser un maximum de personnes dans la lutte contre la prolifération des déchets urbains et dépôts sauvages, une Green Walk a été organisée par le club Evreux Volley-Ball et Construction Specialties France le 9 avril à Pacy-Sur-Eure.   En faisant le choix d'agir au plus proche, avec un départ sur le parking de l'usine et une collecte de déchets dans Pacy-sur-Eure, nous avions comme objectif de contribuer à dépolluer les abords et les accès de notre site de production utilisés au quotidien par l'ensemble de nos salariés.   Un point de départ qui marque également l’engagement et la volonté de l'entreprise d’améliorer l'accueil de tous les collaborateurs CS. Un projet idéal pour lier nos ambitions RSE et QVT   La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) constitue aujourd’hui une préoccupation majeure dans tous les secteurs d'activité. Elle permet entre autres d'associer la logique économique, la responsabilité sociale et l’éco-responsabilité.   En qualité d'industriel spécialisé dans la conception et la fabrication de solutions architecturales, nous plaçons ces enjeux au cœur de nos actions et de nos ambitions sociales, sociétales et environnementales. A l'instar de la démarche RSE, la qualité de vie au travail(QVT) propulse le respect et le confort de l'humain au centre des efforts.   Ces notions fortes qui visent à améliorer le "bien-être au travail" et la qualité du "vivre ensemble" sont pour nous complémentaires, convergentes et totalement adaptées à notre implication en qualité de mécène de l'Evreux Volley-ball. Ramassez le plus de déchets possibles ! Gratuite et ouverte à tous, cette première marche à vocation environnementale a suscité l'intérêt et le soutien de la totalité de l'équipe féminine de l'Évreux Volley-ball à l'exception de deux joueuses mobilisées pour un tournoi et de la capitaine de l'équipe des Panthères, fraîchement recrutée par l'Équipe de France féminine de volley-ball. En outre, des bénévoles et les membres actifs du club n'ont pas manqué à l'appel, tout comme des salariés de Construction Specialties France.  Après un accueil gourmand, agrémenté de jus de fruits et boissons chaudes, les premiers participants ont immortalisé l'instant avec une photo de groupe avant de commencer la marche et la collecte.   Équipés de gants, de pinces ramasse-déchets ou de sacs poubelles, le groupe s'est organisé et a opté pour un partage des tâches. Pour une meilleure efficacité, les participants se sont divisés en binôme composé d'un ramasseur, outillé d'une pince à déchets et d'un collecteur, armé lui d'un sac poubelle. Les participants ont entamé le parcours avec pour objectif précis : collecter le plus grand nombre de déchets sur le trajet.   Mégots de cigarettes par dizaine, collections de canettes, pléiade de masques chirurgicaux, papiers et divers emballages plastiques n'ont pas résisté au passage du groupe ! Parmi les déchets urbains relativement classiques, les bénévoles ont aussi fait de belles trouvailles comme un enjoliveur de voiture, ou une cassette audio qui a remporté le prix du déchet vintage !   L'inspection des voies et chemins d'accès à la gare de plaisance de la vallée de l'Eure, les abords du collège et d'un supermarché de Pacy-sur-Eureont permis de ramasser des kilos de déchets très rapidement. Et le résultat est là !  La collecte s’est achevée avec des sacs poubelles bien remplis de déchets, déposés dans la foulée dans des bennes à ordures mises à disposition par la Ville de Pacy-sur-Eure. Avec la satisfaction d'avoir accompli un devoir citoyen et largement profité de la bonne ambiance générale, les binômes ont bien mérité de se reposer les bras après cette marche musclée !   L'ambiance bonne enfant et la convivialité ont largement marqué cette matinée rythmée par l'ambition de collecter le plus de détritus et grâce à l'implication de tous dans ce projet vert. Rencontres fortuites et franches rigolades resteront des anecdotes bonnes à se remémorer et un excellent levier pour recommencer au plus vite une nouvelle collecte !     Un mécénat qui nous fait du bien   Bien plus qu'un acte philanthropique, nous sommes un partenaire privilégié du club Evreux Volley-ball. Nous partageons des valeurs fortes, comme le respect de l'environnement et de l'homme, la ténacité ou encore le sens de l'engagement.  Après la venue des joueuses dans notre usine pour une visite guidée et une découverte de nos solutions architecturales, cette nouvelle action avec l'EVB nous montre à nouveau l'implication des joueuses dans des causes qui comptent autant pour les entreprises partenaires que pour le club, et pour cette raison, nous sommes fiers d'être partenaire de l'EVB.

Avec l'innovation comme maître mot depuis plus de 70 ans, les bureaux d'études CS développent des solutions pour répondre aux enjeux architecturaux contemporains. Du couvre-joint fabriqué au besoin du projet aux évents d'explosion réutilisables en passant par la protection murale écologique, la priorité des collaborateurs CS est avant tout d'être à l'écoute des projets et de trouver des solutions que nous fabriquons en collaboration avec les équipes de la maîtrise d'ouvrage. Les solutions développées ont toutes pour vocation de proposer un aménagement plus agréable et plus efficace pour améliorer le confort et faciliter la maintenance au sein d'un ouvrage.   Améliorer le cycle de vie des finitions murales avec Acrovyn®   Dans un bâtiment où le trafic est permanent, comme un aéroport, une résidence d'habitation collective ou encore une école, les murs et les angles des murs sont fortement sollicités. Les revêtements poreux (peintures, intissés ou fibres de verre) marquent rapidement les traces de doigts et les frottements des sacs ou des valises ont tendance à élimer les angles des murs, jusqu’à rendre le plâtre friable. Pour contrer ces phénomènes, des solutions clé en main, comme des protections d’angles ou des plaques de protection en Acrovyn®, posées à mi-hauteur sur le mur, permettent de conserver l’apparence neuve des finitions.   La matière Acrovyn, utilisée pour les plaques ainsi que pour tous les profilés de la gamme est le bouclier idéal pour préserver vos murs. Elle protège des rayures et des chocs en empêchant la formation d'entailles ou de creux en surface. Teintée dans sa masse, la matière Acrovyn® ne risque pas de laisser apparaître de traces blanches à la suite d'un choc avec un objet lourd. Les murs sont ainsi protégés et conservent leurs propriétés décoratives pour des années.     D’autres typologies de trafic ont aussi un impact sur l’usage d’un ERP. Lorsque au trafic piéton s’ajoute un trafic d’éléments roulants lourds comme des chariots de courses dans un supermarché ou des chariots de manutention comme des porte-plateaux chargés dans un restaurant scolaire, des profilés de protection adaptés aux usages intenses sont recommandés. Contrairement aux modèles courants qui protègent uniquement le mur du choc, les pare-chocs Acrovyn® Aqua Lign 157 (SCR 50) et Aqua Lign 203 (SCR 80) ou encore Aronde 170 intègrent un amortisseur filant. Cette technologie absorbe l’onde créée à la suite d’un choc empêchant la probabilité de voir se déchausser les fixations du mur.   Cerise sur le gâteau ! La matière Acrovyn® est aussi l'alliée d'une hygiène irréprochable.   Acrovyn n’est pas simplement une matière qui protège les murs. Elle est aussi dotée de propriétés bactériostatiques particulièrement adaptées aux bâtiments qui voient défiler un trafic régulier. Les produits réalisés en Acrovyn sont faciles à nettoyer et décontaminables. Ils résistent aux détergents les plus acides et aux nettoyages à la vapeur haute pression. Les cycles de nettoyages sont plus rapides, plus efficaces et permettent avec un minimum d'effort, de rendre l'environnement de vie plus hygiénique.   Pour renforcer l’hygiène dans un milieu susceptible de recevoir des projections sur les murs, les plaques murales Acrovyn® peuvent-être soudées bords à bords à l’aide de cordons de soudure. Cette mise en œuvre spécifique assure une finition lisse, hygiénique et surtout étanche. Cette dernière propriété encourage les cycles de nettoyage à grande eau sans risquer de voir apparaître des moisissures ou champignons, néfastes pour l’hygiène et la qualité de l’air à l’intérieur du bâtiment. Quelles protections sont les plus adaptées à votre projet ?   Limiter les besoins en climatisation du bâtiment en régulant la chaleur avec Airfoil®   De plus en plus, les bâtiments contemporains intègrent le verre comme matériau premier. Les grandes surfaces vitrées sont élégantes et une source de lumière naturelle propice au bien-être des occupants à l'intérieur du bâtiment. Ces caractéristiques de confort et d'esthétisme sont à la fois recherchées par de nombreuses équipes de Maîtrises d'œuvre et par de nombreux Maîtres d'ouvrage.   Le rayonnement direct du soleil doit cependant être anticipé car en été les surfaces vitrées peuvent être elles seules à l'origine des 2/3 des apports excessifs de chaleur. Des études en phase de conception permettent de limiter l’apport de chaleur comme par exemple l’exposition du bâtiment, des vitrages ou encore le facteur solaire de la menuiserie  (Coefficient Sw). Des solutions architecturales de protections solaires extérieures (auvents, débords de toit, stores ou encore brise-soleil) limitent aussi la surface vitrée exposée aux rayons du soleil. La mise en œuvre d'une solution brise-soleil en façade permet aux projets de construction mais aussi aux projets de rénovation de faire baisser la température des espaces directement exposés au rayonnement du soleil. La chaleur est atténuée à l'intérieur du bâtiment et les besoins en climatisation sont simplement réduits.   La gamme Airfoil® présente l'avantage d'être modulaire et totalement personnalisable. Les protections solaires fixes peuvent être montées en auvent projeté, mises en œuvre en façade (brise-soleil horizontal ou vertical, lames couchées ou debout) ou encore proposer un montage d'angle en auvent projeté. Les thermolaquages RAL sont labellisés QUALICOAT et QUALIMARINE.   Les lames en aluminium peuvent-être ovoïdes, plus communément appelées lames ailes d'avion, ou rectangulaires. Pour offrir plus de performance à l’ouvrage, elles peuvent intégrer des solutions d'isolation phonique ou des leds.   Accueillir dans un environnement propre et limiter l'érosion de sols avec des tapis d’accueil Pedisystems®   Esthétique, confortable et pratique le tapis d'accueil est un standard dans les entrées des bâtiments. Encastré dans une fosse, il est sécurisant, compatible avec les critères d'accessibilité en ERP, il évite aussi à tous les usagers d'illustrer l'expression très imagée : se prendre les pieds dans le tapis.   Il est également un gage de durabilité pour les sols le succédant. Grâce à sa conception mêlant des fibres en textile grattant et des rails en aluminium, il filtre et bloque les salissures de petit calibre comme les poussières ou la terre séchée, mais aussi les plus gros fragments qui sont ancrés dans les semelles des chaussures. En barrant l'accès aux débris durs et anguleux, comme de petits cailloux, le tapis joue son rôle et empêche la formation de rayures profondes sur les sols fragiles. Il protège aussi les sols d'une érosion précoce en bloquant les particules de plus petites tailles comme le sable et la poussière qui au fil des années et du passage créent des micro-rayures. Imperceptibles seules, une fois cumulées, elles deviennent très visibles et laissent apparaître des taches d’usure sur le revêtement de sol.   L'absorption de l'humidité est aussi une qualité du tapis qui protège les sols des tâches. L'eau rend les sols glissants et elle les abîme aussi. Des traces et des gouttes peuvent marquer les parquets massifs, tout comme des résidus sales ou gras sont les ennemis de prédilection des sols en pierre poreux ou des moquettes.

Les incendies et en particulier ceux intervenus à l'origine sur des sites de stockage continuent de représenter une part massive de l'accidentologie du tissu industriel français. Plus de 10% des accidents recensés dans l'industrie en France sont des incendies d'entrepôts.   Cette sinistralité entre autres mise en évidence par la circulaire DPPR/SEI du 21/06/00 a aussi été l'origine d'une réglementation plus précise et plus contraignante en matière de sécurité incendie dans les entrepôts couverts, visés par la rubrique 1510 de la nomenclature des ICPE. Malgré les évolutions et la rigueur législative en place, l'accidentologie reste élevée compte tenu de l'évolution significative de la taille et du nombre d'entrepôts sur le territoire français.   Un maillon sensible de la supply chain   Cette constance dans la sinistralité s'explique en partie par l'évolution des modes de consommation. Avec l'essor du e-commerce et du m-commerce, de plus en plus de plateformes logistiques voient le jour pour répondre à la demande croissante des besoins en logistique et en livraisons. L'étude menée par la Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance (FEVAD) en atteste et inventorie que plus de 500 millions de colis ont été expédiés en France en 2017, marquant ainsi une progression de 10,5 % par rapport à l'année précédente.   L'augmentation du nombre de sites logistiques et des surfaces d’exploitations n’est pas pour autant l'origine des accidents. Un accident peut relever de plusieurs causes et engendrer des conséquences plus ou moins lourdes.   A l'inverse de tous les autres projets de construction qui dès l'origine ont une vocation et un usage précis (un cinéma, un immeuble, des bureaux, un hôpital…) les équipes de maîtrise d'œuvre n'ont pas toujours connaissance de la nature des futurs matériaux entreposés dans un EPL (entrepôt et plate-forme logistique) au moment de la construction.   Cette inconnue ne leur permet pas d'anticiper un risque lié à un usage spécifique du bâtiment, comme par exemple prescrire la mise en œuvre d'évents d'explosion dans la zone technique d'un hôpital car des bouteilles de gaz médicaux y seront forcément stockées.   “Le risque majeur en entrepôt c’est l’incendie”   Cependant et pour faire face à l'accidentologie recensée ces dernières années et pour répondre à la législation en vigueur, les architectes et bureaux d’études techniques doivent tenir compte du risque incendie sur le plan constructif. Car comme le rappelle Pascale Limonier du Centre National de Prévention et de Protection (CNPP)“Le risque majeur en entrepôt, c'est l'incendie”.   Cette prédominance du risque incendie, relayée par des experts du secteur et l’élargissement des obligations en matière de sécurité incendie à tous les entrepôts couverts se comprennent aisément.   Le risque incendie est bel et bien présent dans les entrepôts et ce même si la matière entreposée ne présente pas de caractère inflammable ou combustible par nature. Les emballages et des matériaux de conditionnement (palettes, barils) bien souvent du carton, du bois et du plastique sont indissociables de l’activité des sites logistiques et ils présentent eux un caractère hautement inflammable et propice à la propagation d’un incendie dans la globalité d’un bâtiment.   C’est une des raisons qui impose aux EPL un dimensionnement spécifique des cellules de stockage, une superficie maximale pour des cantons de désenfumage et toutes les autres dispositions constructives applicables au regard de l’arrêté du 11 avril 2017 visant à prévenir et mieux contrôler les incendies.   Système incendie : les plus technologiques sont-ils les plus infaillibles ?   Les équipements de prévention et de sécurité incendie sont de plus en plus performants, la surveillance en temps réel ou les systèmes de détection précoce d’incendie par caméras thermiques mêlent de nouvelles technologies aux rudiments des systèmes SSI pour toujours apporter plus d’innovation à la prévention incendie.   Pour assurer leur efficacité autant sur le plan préventif qu’opérationnel, ces systèmes, tout comme les dispositifs de désenfumage classiques, exigent des essais et de la maintenance sur site tous les 6 ou tous les 12 mois afin de mener les opérations de vérification et de maintenance prescrites dans la norme NF S 61-933.   Un DENFC infaillible : simple comme APC   Conçu sur le même principe de fonctionnement qu’un simple sprinkler, toutefois efficace dans 98% des départs d’incendie, le DENFC APC Dayliter est un dispositif de désenfumage thermo-réactif à action automatique.   Lorsque la chaleur à l'intérieur du bâtiment dépasse la température seuil de +82°C, la membrane de ce dôme breveté change d'état et se rétracte de son cadre. La superficie du dôme est alors totalement libérée pour évacuer les fumées toxiques et les gaz de combustion. La seule condition à son efficacité est la chaleur provoquée par un départ d’incendie.   La force de ce dispositif réside aussi dans le fait qu’il n’exige aucune actions humaines ou mécaniques (cartouches de gaz inerte, vérins ou autres éléments susceptibles de se gripper).   Les opérations obligatoires de maintenance ne sont pas applicables à ce dispositif de désenfumage certifié EN 12101-2. Cet avantage permet aux structures de déployer des systèmes SSI complémentaires en employant les économies faites sur le budget maintenance.

Tous les gestionnaires d'établissements qui réceptionnent du public ou de la clientèle ont des préoccupations communes. La principale : accueillir dans les meilleures conditions leur audience. Cette qualité se compose de différents facteurs. L'accueil physique et humain compte pour beaucoup dans l'ambiance d'un lieu, mais cette caractéristique n'est qu'une facette du ressenti transmis par un établissement.   Une bonne atmosphère se concrétise aussi par l'esthétique, la propreté et l'état général. Et sur ce plan, des solutions d'aménagement permettent d'anticiper et de personnaliser les besoins selon les contraintes rencontrées, dans le but de limiter la vétusté d'un bâtiment. Focus sur les solutions d'aménagement qui limitent l'usure des portes.   Protéger les portes envers et contre tout   Les portes d'un ouvrage sont un élément essentiel d'un bâtiment, elles organisent les espaces et contribuent à l'isolation thermique et acoustique. Qu'elles soient empruntées par le personnel de l'établissement ou les visiteurs, les portes ont la particularité d'être manipulées à deux reprises (ouverture et fermeture).   Mais contre quoi et pourquoi les protéger spécifiquement ?   Lorsqu'elles sont mises en œuvre dans un établissement qui réceptionne du public, elles sont soumises à différents types de dégradations et leur caractère mobile les rend plus vulnérables face aux chocs. Par exemple, une porte qui n'est pas totalement fermée ou une porte battante sera rayée et impactée par le passage d'un chariot d'urgence ou de tout autre élément encombrant, comme un diable chargé de colis, si sa structure n'a pas été protégée ou si elle n'est pas dotée d'un système d'ouverture automatique. Quand elles sont poussées plutôt qu'ouvertes à l'aide de leur poignée, la surface des portes est aussi rapidement tachée et marquée par cet usage inapproprié. Les montants latéraux de l'encadrement sont, eux aussi, souvent marqués à hauteur des mains.   Comment protéger les portes contre les traces de doigts et les résidus sales   L'ensemble du bloc-porte n'est pas exposé aux mêmes risques de salissure. La mi-hauteur et plus précisément la zone près de la poignée est plus exposée aux traces de mains pas tout à fait propres. C'est aussi sur cette zone que la concentration en bactérie est la plus élevée. La traverse basse de la porte n'est pas pour autant épargnée face aux traces. Le frottement entre la semelle en gomme des chaussures et la structure de la porte est fréquent et elle se manifeste par des traces résiduelles inesthétiques.   Compte tenu de ces expositions et d'autant plus lorsque la fréquentation du bâtiment est élevée, il est complexe de les garder les portes durablement propres si leur surface est fabriquée dans un matériau qui ne se nettoie pas facilement et qui ne supporte pas les agents de nettoyage détersifs et abrasifs comme un bois brut, peint, huilé, vernis ou un stratifié.   Pour préserver les portes, il est en premier lieu important de les choisir dans une couleur qui ne soit pas trop salissante en fonction de l'activité exercée dans le bâtiment. La porte qui sépare un atelier de réparation automobile de son espace commercial a tout intérêt à être choisie dans un ton foncé pour éviter que des taches de cambouis soient visibles entre deux cycles de nettoyage. Pour une efficacité sur du long terme, opter pour une protection partielle, mais adaptée avec des plaques de poussées et des plaques en bas de portes mises en œuvre sur le revêtement de la porte, facilite l’entretien. Conçue pour résister aux produits chimiques et aux détergents, la matière Acrovyn® se nettoie facilement et ne s'use pas lors des entretiens. Teintées dans la masse, les protections ne risquent pas de se décolorer ou de se détériorer, comme un vernis, un placage ou une peinture face à un nettoyage à la vapeur chaude et à haute pression.   Proposées dans toutes les couleurs du nuancier, les protections de portes Acrovyn® proposent de multiples opportunités décoratives. Elles sont découpées sur-mesure selon des modèles standards (en forme de demi-lune, de vague, d'arc-en-ciel, de silhouette…) ou selon un design personnalisé (numéros des chambres, compositions intégrant des découpes bicolores, décors sculptés, impression d'un visuel en HD…) étudié en collaboration avec le bureau d'études Acrovyn®. Protéger les portes contre les chocs et les impacts    Contrairement aux tâches, l'usure du revêtement ne se dissimule pas. Une fois que le vantail de la porte ou son chambranle sont creusés par des chocs avec des objets lourds, comme un chariot de distribution du courrier ou de plateaux-repas, des travaux de rénovation sont à entreprendre, à la différence des tâches qui elles n'impliquent bien souvent qu'un nouveau nettoyage.   C'est pour cette raison que le choix du revêtement est essentiel dans la spécification des portes. Tous les revêtements ne sont pas égaux face à l'usure, aux chocs et aux rayures. Pour l'évaluer, le test Taber® mesure à l'aide d'un abrasimètre la résistance d'une surface face à l'abrasion. Ce test permet d'établir le nombre de cycles supportés par une finition. Une porte plaquée en bois ou stratifiée va supporter 1000 cycles tandis qu'une porte plaquée en Acrovyn® va en supporter 20 000, ce qui représente pour un ERP environ 10 années de sérénité. Protéger le bloc porte selon l’environnement   Pour préserver les portes et le bâti, plusieurs options de protection sont possibles. . La spécification des protections doit être définie selon le type de portes, mais aussi selon l'intensité et l'activité pratiquée au sein de l'établissement.   Un hôpital, par exemple, rencontre un important trafic d'élément roulants (brancards, fauteuils roulants…). Le flot est constant, intense, et le risque d'impact est élevé. Bien que les portes préconisées pour ce type d'établissement soient des portes solides à structures pleines, il est conseillé de protéger les battants sur la globalité des deux versants et ce que la porte soit battante ou fixe afin d'anticiper sur des futurs travaux de rénovations. Les habillages de portes Acrovyn® sont bactériostatiques et font de cette finition un réel atout pour les bâtiments ou l'hygiène stricte est de rigueur.   Les dormants d'une porte sont, eux aussi, très exposés aux chocs de chariots (nettoyage, restauration, livraisons…) et d'éléments mobiles transportés. Les établissements hôteliers et particulièrement les chambres d'hôtel voient défiler chaque jour des clients et surtout des valises plus ou moins encombrantes. Elles font partie des contraintes à anticiper, car elles sont la cause d’une usure sur la partie basse de la porte. Lorsque les dormants sont abîmés, c'est tout le bloc-porte qui est altéré. L'alignement avec la porte peut être affecté et le mécanisme moins efficace. Les opérations de rénovations sont alors inévitables et engagent des travaux conséquents sur le bâti.   Pour se prémunir face à ces étapes, CS a développé des protections adaptées aux encadrements des portes. Découpées selon les dimensions exactes des encadrements, ces profilés en Acrovyn® 2 mm sont thermoformés en forme de U et de L pour épouser et renforcer les angles et les profilés du bâti. Complémentaires, modulables et sur-mesure, les protections thermoformées en U et en L s'adaptent aussi aux besoins de protections de la porte. Elles permettent une mise en œuvre en milieu humide en encapsulant la porte et protègent l’intégralité du bas de porte grâce à l’association d’un profilé en L et d’un profilé en U. Si la porte est au sein d'un établissement fortement fréquenté mais qu'elle dessert moins de passages, comme la porte d'un bureau, sa protection peut être plus légère. Une protection partielle positionnée au niveau de la serrure et de la poignée évite les impacts de trousseaux de clés sur la peinture ou le laquage et sera suffisante pour maintenir pour des années l'apparence d'origine de la porte. Ces habillages s'adaptent à toutes les portes à partir du moment où la zone à protéger est plane.   Les portes automatiques souvent vitrées, exigent que le périmètre proche soit balisé pour éviter toute collision. Une signalisation au sol et des vitrophanies sur différentes hauteurs doivent être apposées en accord avec l'arrêté du 20 avril 2017, relatif à la loi sur l'égalité des droits et des chances Pour éviter tout risque d'accident que les bandes de signalisations ne sauraient prévenir, comme la collision entre un élément roulant et une porte vitrée, des poteaux circulaires et des pare-chocs en inox peuvent border l’entrée et limiter le nombre d’accidents. Protéger les usagers face aux traumatismes causés par les portes   Dans les établissements scolaires et les environnements professionnels où le risque de pincement à l’ouverture et à la fermeture des portes et fenêtres est important, le besoin de mise en sécurité est prescrit par le Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse et des Sports ainsi que par le Ministère de l’Intérieur et de la Direction de Sécurité Civile.   Conçus pour s'adapter sur tous les systèmes de portes jusqu'à 180°, les kits anti pince-doigts CS se mettent en œuvre sur le versant paumelle ou sur le côté serrure de l'ouvrant sur des portes fixes, mais aussi sur de portes battantes à simple ou à double vantaux.

L'hygiène et les désinfections quotidiennes des locaux sont des préoccupations au cœur des industries agro-alimentaires et des métiers de bouche. La moindre contamination bactérienne engendre des conséquences lourdes tant sur l'aspect sanitaire avec des risques d'intoxications et infections bactériennes graves comme la listériose ou la salmonellose, mais aussi sur le plan logistique et économique avec la mise en place de politique de rappel des lots contaminés qui induisent inévitablement une perte sur le chiffre d'affaires.     Industries agro-alimentaires (IAA) et laboratoires alimentaires : concevoir un ouvrage durablement hygiénique     L'ouvrage qui accueille un laboratoire doit être conçu et aménagé pour supporter et faciliter les cycles de nettoyages réguliers requis par les règles d’hygiène du secteur.   Ces routines strictes doivent être obligatoirement consignées dans le plan de maîtrise sanitaire. Elles préviennent et contrent les sources potentielles de contamination bactérienne.   Ainsi, tous les flux qu’ils soient humains (arrivées du personnel, prestataires..) ou logistiques (chargements et déballages des marchandises) doivent être étudiés et encadrés par un protocole d’hygiène spécifique. Les finitions de l’ouvrage comme les sols, les murs ou encore les portes non automatisées sont de facto impliquées dans le plan d’hygiène et sont d’autant plus sollicités par les nettoyages récurrents.     Parmi les matériaux mis en œuvre dans les IAA (Industries Agro-Alimentaires) où les cuisines industrielles, quelles sont les finitions à privilégier en matière d’hygiène et de rentabilité ?     Les revêtements en faïence lisse, facilement nettoyables, peu onéreux à la pose et très résistants ont été longtemps favorisés lors de la phase de choix des finitions des bâtiments agro-alimentaires ou des cuisines des restaurants. Cependant, malgré leur grande résistance, ce revêtement présente de nombreux joints poreux et rugueux entre les carreaux. Et c'est cette porosité qui est propice au développement et à la multiplication des bactéries sur les murs ou sur les sols carrelés. Si une rénovation est à envisager pour la pérennité des lieux, elle implique des lourds travaux de dépose du carrelage existant, puis de pose d’un nouveau revêtement plus moderne et plus adapté aux contraintes environnementales en milieu sensible.   Pour ces raisons, des revêtements tout aussi lisses et hautement nettoyables, mais dépourvus de joints, limitant ainsi le développement de bactéries sont préférés aux carrelages. Mis en œuvre sur les murs de nombreux laboratoires, des larges panneaux d'aluminium limitent les interstices et de ce fait l'exposition bactérienne à l'instar des panneaux Acrovyn®. Les panneaux en résine Acrovyn® bénéficient, en plus de leurs propriétés bactériostatiques, d'une grande résistance aux chocs contrairement à l'aluminium qui marque les impacts liés aux chocs intenses.   Lors du choix d'un revêtement mural, il est bon de considérer l’exposition aux éraflures et aux chocs. Si l’usage du bâtiment est intense et que les murs ne sont pas protégés à l'origine, des signes visibles et indélébiles comme des traces de chocs et d’impacts s'y inscrivent rapidement. Le bâtiment se voit alors conférer un aspect négligé et une faille s’intègre dans le plan d’hygiène. Ces signes induisent des rénovations anticipées et coûteuses qui impliquent la réfection de la surface abîmée.   La nettoyabilité ainsi que l'absence de joints poreux est un atout qui est également proposé par les revêtements souples, comme le vinyle mural. Lorsque les murs sont revêtus de ce type de finition, ils ne sont pas protégés face aux chocs. Conçus pour supporter les nettoyages à la vapeur et les détergents abrasifs, ils démontrent cependant leur faiblesse face aux risques de déchirure. Ils ne résistent pas au passage d'un objet anguleux en acier inoxydable comme un plateau, un bac gastro ou un chariot, pourtant familiers dans l'univers de la restauration et de l'industrie agro-alimentaire. Afin de contrer cette faiblesse et d'éviter de créer un interstice propice au développement des bactéries des pare-chocs, des bumpers adaptés à l'environnement de destination ou encore des renforts muraux, telles des plaques en Acrovyn® mis en œuvre à mi-hauteur du mur peuvent éviter les accrocs sur les revêtements souples muraux.

La lutte contre les infections, la prolifération des virus ou des bactéries est une bataille du quotidien dans de nombreux secteurs. Les établissements de santé et de soins, les laboratoires de recherches et les sites industriels de production agro-alimentaire les combattent au quotidien avec des protocoles d'hygiène et de nettoyage strict.   On remarque aussi que de plus en plus d'établissements qui reçoivent du public (ERP) comme les grandes surfaces ou les administrations adoptent des solutions de lutte contre les germes. Il est désormais fréquent de voir des distributeurs de solutions hydro-alcoolique sur les banques d'accueil ou des lingettes désinfectantes destinées aux chariots aux entrées des supermarchés.   Ces mesures préventives contre les infections pathogènes mises en place par les institutions ou les sites publics nous rassurent tous. La détection de nouvelles souches de super-bactéries résistantes aux antibiotiques et les infections nosocomiales renforcent les interrogations sanitaires et les craintes publiques sur l'hygiène.   Selon l'enquête nationale menée par l’Institut de veille sanitaire, on dénombre chaque année 750 000 infections nosocomiales qui donnent lieu à 4 000 décès rien qu'en France.   Sur les 5 à 10 millions de types de bactéries présumées existantes, trois souches bactériennes sont à l'origine de la moitié des cas d'infections nosocomiales. Les souches bactériennes Escherichia coli représentent 26 % des infections, les Staphylococcus aureus sont responsables de 16 % des contaminations et les souches Pseudomonas aeruginosa infectent 8,4 % des malades. Ces souches sont donc les premières à maîtriser afin d'assurer un environnement moins propice au développement des infections nosocomiales.   Le ministère des Solidarités et de la Santé a d'ailleurs mis en place un portail de signalement des événements de santé indésirables depuis mars 2017. Plus de 40 000 cas y sont déjà recensés et servent à lire distinctement la concentration et les cas de sécurité sanitaire inquiétants.     Les matériaux de construction doivent contribuer à la bonne hygiène d'un bâtiment     Des méthodes de conception des bâtiments et des matériaux de construction permettent de lutter contre les infections, mais quels sont-ils ? Outre la mise en place et l'application systématique de protocoles et mesures d'hygiène drastiques, des matériaux de construction et des modèles de conception limitent la prolifération des germes ou tuent les bactéries dans nos environnements de vie.   Par exemple, dès la conception des ouvrages, construire les sols de manière à permettre une évacuation adéquate des eaux de nettoyage et opter pour des coins arrondis entre les murs, les sols et les plafonds contribuent à une bonne nettoyablilité de l'ouvrage.   A ce titre, les industries spécialisées dans la conception de matériaux de construction ont développé des produits adaptés aux contraintes en milieux sensibles. Certaines finitions du second-œuvre sont étanches. C'est le cas de certains couvre-joints agrémentés de membranes imperméables conçus pour les joints de sols et de murs ou de plinthe soudable. Ces solutions empêchent l'infiltration de l'eau et la prolifération des bactéries, friandes des milieux humides ou la température est comprise entre 4° et 60 °C.   Cette précaution, tout comme limiter le nombre de joints de carrelage réalisés au mortier et de leur préférer des solutions thermosoudés au silicone, évite aussi une multiplication accrue des bactéries. Il faut garder en tête que l'ensemble des zones difficiles à nettoyer seront de véritables nids à microbes, et ce, d'autant plus si la surface est poreuse, comme une plaque de plâtre.   Ainsi, les plaques de revêtement murales en résine plastique ou acrovynilique présentent de nombreux avantages pour les environnements à haut risque infectieux. Leur grand format limite le nombre de joints et leur surface non poreuse se nettoie facilement. Ces armes passives aussi déclinées en profilés (pare-chocs et protections d'angles) présentent l'avantage de protéger les murs des dégradations et des brèches, interstices tout autant appréciés des microbes.   Pour aller plus loin dans la lutte contre les infections pathogènes, les industriels du bâtiment déclinent ces matériaux de construction ainsi que des profilés d'aide à la mobilité (main-courante, rampes…) avec différentes propriétés efficace contre les bactéries, majoritairement bactéricide ou bactériostatique.     Mais concrètement, quelle action bactériologique permet de lutter contre l'apparition d'un biofilm pathogène sur les surfaces ?     Les surfaces dites bactériostatiques empêchent momentanément la multiplication des bactéries dans des conditions définies d'emploi (les souches concernées et la durée d'action sur les bactéries sont déterminées). La prolifération est inhibée mais les bactéries ne sont pas tuées. Tandis que les surfaces dites bactéricides tuent les bactéries, toujours dans des conditions définies. Le terme antibactérien qualifie quant à lui un produit ou un procédé dont l'activité n'est pas explicitement précisée. Ce terme flou ne précise pas l'action ni les spectres bactériens couverts. Il peut très bien s'agir d'une action bactéricide ou bactériostatique.   Ces nuances sont essentielles à connaître et à considérer si le lieu à préserver est un environnement sensible. On remarque trop souvent que beaucoup d'industriels utilisent les termes antibactérien ou bactériostatique sans fournir le moindre rapport de tests. L'évaluation est uniquement basée sur le fait que la surface du revêtement est lisse et donc plus facile à nettoyer. L'entretien est plus rapide et il peut être intégré plus fréquemment dans des routines de nettoyage. En toute logique les bactéries y adhèrent moins facilement et elles sont moins nombreuses. Il faut donc plus y voir un revêtement propice à une hygiène rigoureuse qu'un produit aux vertus antimicrobiennes ou antibactériennes.   Quelles sont les normes appliquées aux matériaux de second-oeuvre ?   Inspirée de la rigoureuse norme japonaise JIS Z 2801, la norme internationale ISO 22196 (Plastiques - Mesurage de l'action antibactérienne sur les surfaces en plastique) teste l'efficacité antibactérienne et antimicrobienne des surfaces non poreuses, en plastique ou pour les dérivés du plastique. La norme NF EN 1040 quant à elle évalue la bactéricidie, c’est-à-dire la capacité de tuer des bactéries végétatives de spectres définis dans la norme. Un projet de norme (PR) NF S90-700 (Méthode d'évaluation de l'activité bactéricide de base d'une surface non poreuse) est encore au stade de l’enquête publique mais devrait prochainement être publiée. Cette future norme française (NF) n’aurait cependant pas l’envergure internationale ISO (International Organization for Standardization).   A propos d'Acrovyn® Bactéricide ?   L'action bactéricide assurée par les revêtements muraux Acrovyn® Bactéricide est la seule sur le marché qui permet de tuer deux des trois souches responsables de la moitié des infections nosocomiales, relevées par l'Institut de veille sanitaire.   Tableau des souches bactériennes concernées pour une plaque Acrovyn® bactéricide :   Activité testée selon la norme ISO 22196 et interprété selon la norme NF EN 1040.

L’Organisation Mondiale de la Santé évalue qu’une personne sur sept souffre d’une déficience physique, mentale ou d’un handicap résultant d’une maladie invalidante. À l’échelle nationale, plus de 12 millions de français sont touchés par un ou plusieurs handicaps soit environ 18% de la population.   Le ressenti et la prise en compte des difficultés rencontrées au quotidien par les personnes en situation de handicap n’est pas récente mais les dispositions obligatoires dans la conception et la réhabilitation de bâtiments publics sont plus strictes et sont encadrées depuis la loi pour l’égalité des chances, aussi connue sous le nom de loi Handicap. Promulguée le 11 février 2005, la réglementation vise à améliorer la cohésion et l’intégration sociale pour tous. Affinés et amendés par différents arrêtés, les moyens concrets et obligatoires pour assurer l’accessibilité restent encore flous pour de nombreux gestionnaires d’ERP (Etablissement Recevant du Public).   Entre la profusion de solutions et les multiples interprétations des textes de loi, quelles sont les solutions d’accessibilité conformes au regard de la loi ? Et pour quels types d’ERP sont-elles obligatoires ?   Il n’est pas si simple de s’y retrouver parmi la masse d’informations et de solution proposées. Pour clarifier les devoirs d’accessibilité selon la nature de l’ERP nous avons décrypté les textes de loi en vigueur et nous avons interrogé Gaëtan de Coligny, Chargé de mission accessibilité pour le département de l’Eure.   Concrètement, qu'est-ce qu'un ERP et quels bâtiments sont des ERP ? L’acronyme ERP (établissement recevant du public) désigne l’ensemble des bâtiments susceptibles d’accueillir des individus que les mesures d’accès à l’établissement soient libres ou payantes. À l’instar d’un cinéma, d’une grande surface, d’un Ehpad ou d’un collège, ces bâtiments accueillent une audience publique ou privée et rencontrent une fréquentation constante ou des pics d’affluence.   Les personnes considérées comme un public sont tous les individus admis dans l’établissement en plus du personnel. Ainsi une entreprise qui accueille exclusivement ses employés n’est pas considérée comme un ERP. Ce cadre est précisément défini par l’article R. 123.2 du Code de la Construction et de l’Habitation.   Déterminer le type d’un ERP   Le public cible d’un établissement varie selon l’activité proposée. Il va de soi qu’une école maternelle ou qu’une discothèque n’auront pas la même audience et auront des exigences, en matière de conception, différentes. Les établissements recevant du public sont donc catégorisés en différentes familles.   Symbolisé par une lettre, le type d’ERP caractérise et regroupe les activités d’un même genre. Par exemple, la classe J regroupe les structures d’accueil pour personnes âgées ou handicapées, la classe M tous les magasins et centres commerciaux ou la classe N les restaurants et débits de boissons. Retrouvez ici la correspondance entre le type d’ERP et la codification législative   Les établissements installés dans un bâtiment : J – L – M – N – O – P – R – S – T – U – V – W – X – Y   Les établissements spéciaux : PA – CTS – SG – PS – GA – OA – EF – REF   Certains établissements sont considérés comme spéciaux. Ils sont différenciés des autres exploitations par une codification avec deux ou trois lettres. Ils présentent majoritairement des difficultés d’accessibilité liées à leur activité ou à leur emplacement. Une structure de jeu gonflable, un restaurant ou un refuge de montagne en altitude sont de ce fait classés dans cette catégorie. On y retrouve aussi les gares, parking couverts et les établissements de plein air.   Quels sont les paliers des catégories ERP ? Conformément à l’article Article R. 123-19, la classification des ERP est aussi affinée selon la capacité d’accueil du lieu. Afin de garantir la sécurité du public, les bâtiments de type ERP sont distingués en 5 classes, selon leur capacité d’accueil maximale.   1ère catégorie : supérieur à 1500 personnes, 2ème catégorie : entre 701 à 1500 personnes, 3ème catégorie : entre 310 à 700 personnes, 4ème catégorie : inférieur à 300 personnes, mais supérieur aux effectifs de la catégorie 5 5ème catégorie : établissements dont les effectifs (définis par type d’activité) sont inférieurs aux seuils préconisés. (article R. 123-14) Nota bene : les paliers n’incluent pas le personnel du bâtiment.   On parle aussi de groupe ERP. Cette segmentation est moins utilisée dans les textes de loi mais sachez que le premier groupe englobe les quatre premières catégories et le second groupe inclut la 5ème catégorie d’établissement recevant du public.   Comme expliqué par Gaëtan de Coligny, la base d’application à retenir selon les catégories pour les bâtiments existants est la suivante :   Catégorie 1 à 4 :  doit proposer toutes les prestations sur tous les niveaux ouverts au public Catégorie 5 : doit proposer l’ensemble des prestations sur un niveau accessible   Comprendre la loi handicap   La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances a instauré des dispositions légales destinées à tous les établissements susceptibles de rencontrer un public et par voie de fait des personnes handicapées.   Elle stipule que l’ensemble des établissements recevant du public doivent être accessibles à tous les types de handicap ou de situation de handicap.  ce titre, la conception et l’aménagement des bâtiments doivent anticiper les exigences et les contraintes imposées par tous les types de handicap ainsi que les situations de plurihandicap de sorte que les personnes souffrant de déficiences visuelle, motrice, auditive, intellectuelle et mentale puisse rentrer, circuler et recevoir les informations diffusées par l’établissement.   Des exigences spécifiques sont associées à chaque type de déficiences. Elles permettent d’évaluer rapidement les atouts et défauts que présente un ERP en matière d’accessibilité.   Handicap visuel : implique des mesures d’accueil en termes de guidage, de repérage et d’éclairage Handicap auditif : implique des exigences en termes de communication, sonore et de signalisation adaptée Handicap intellectuel : implique des exigences en termes de repérage, d’éclairage ainsi que la formation des personnels d’accueil Handicap moteur : implique des mesures d’accueil spatiales, de stationnement et de circulation adaptés, de cheminement extérieur et intérieur, de qualité d’usage des portes   Tous les ERP sont-ils concernés par la loi accessibilité ? Depuis 2015 tous les ERP et les IOP (installations ouvertes au public) comme les espaces ouverts (esplanades) ou la voirie sont obligés de répondre à des standards d’accessibilité. Dans tous les ouvrages ou les zones suivantes sont présentes, une vigilance particulière est recommandée. En effet, ces espaces communs sont tous soumis à des mesures d’accessibilité :   les cheminements extérieurs ; le stationnement des véhicules ; les conditions d’accès et d’accueil dans les bâtiments ; les circulations horizontales et verticales à l’intérieur des bâtiments ; les locaux intérieurs et les sanitaires ouverts au public ; les portes, les sas intérieurs et les sorties ; les revêtements des sols et des parois ; les équipements et mobiliers intérieurs et extérieurs susceptibles d’y être installés   Les exigences techniques sont propres au cadre du bâti   Les exigences réglementaires (pourcentage de pente, signalétique, dimensions des portes…) à mettre en œuvre dans les espaces empruntés par le public sont induites par le cadre du projet.   Depuis le 1er janvier 2007, tous les permis de construire doivent être conçus de manière à ce que l’ouvrage soit accessible dans son ensemble et ce quelle que soit sa catégorie. Les obligations légales sont recensées sous l’arrêté du 1er août 2016, abrogé par l’arrêté du 20 avril 2017. Pour les bâtiments existants, les exigences techniques réglementaires sont encadrées par l’arrêté du 08 décembre 2014, applicable à compter du 1er janvier 2015.   Dans le but de clarifier les dispositions réglementaires liées à une conception et construction d’un bâtiment ou à une mise en conformité d’un bâtiment existant les ministères de la construction (Ministère de l’égalité des territoires et du logement et le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie) ont demandé la création du site internet http://www.accessibilite-batiment.fr/   L’interface officielle centralise l’ensemble des dispositions à mettre en place selon le cadre du projet. Il est facile ensuite de naviguer parmi les dispositions générales et de retrouver la zone du bâtiment ou le lot concerné par la recherche d’information.   Par exemple, pour connaître l’ensemble des obligations pour les Revêtements de sols murs et plafonds ou pour les Portes, Portiques et SAS dans un ERP existant, il suffit de sélectionner en premier lieu le cadre du bâti, en l’occurrence existant, et de choisir la ou les rubriques qui vous intéresse.   Les exceptions liées à la catégorie   En plus du cadre du projet, des spécificités liés à la catégorie de l’ERP s’appliquent aux premières catégories mais pas aux bâtiments appartenant à la dernière strate.   Par exemple, les ERP de la 5ème catégorie qui ne remplissent pas une mission de service public n’ont pas l’obligation d’installer de boucle à induction magnétique alors que cette mesure est obligatoire pour les catégories 1 et 2.  Dans le cadre d’une mise en conformité de locaux existant et pour les catégories de 1 à 4 dans le cadre d’une construction.   Peut-on échelonner les travaux de mise en conformité d'un bâtiment ?   Face aux nombreux travaux de mise en conformité rencontrés par les ERP existants, les pouvoirs publics conscients de l’enveloppe des travaux exigée et du temps requis par certains travaux, ont autorisé un planning d’aménagement. L‘Ad’AP, soit l’agenda d’accessibilité programmée est un engagement de travaux émis par le gestionnaire de l’ERP qui lui permet d’échelonner sous certaines conditions les travaux entre trois et neuf ans sans encourir de sanctions pénales allant de 45 000 € pour une personne physique à 225 000 € pour une personne morale.   Initialement, le dossier Ad’AP devait être déposé en mairie ou en préfecture avant le 27 septembre 2015. Les dérogations sont cependant toujours acceptées si elles sont accompagnées de justificatifs de retard.   Le sésame, l'attestation d'accessibilité   La construction d’un bâtiment destiné à recevoir du public impose le respect des normes établies par la loi accessibilité du 11 février 2015.   À l’issu des travaux et lorsqu’un établissement est aux normes, une attestation d’accessibilité doit être réalisée puis transmise au préfet ainsi qu’à la commission pour l’accessibilité de la commune de l’établissement.   Tout d’abord, si la demande de contrôle d’accessibilité s’opère lors d’une ouverture ou après une fermeture supérieure à 10 mois, l’exploitant d’un ERP de 1ère à 4ème catégorie ou de 5ème catégorie (uniquement s’il dispose de locaux à sommeil) doit demander au préalable au maire ou au préfet une autorisation d’ouverture.   Effectuée un mois avant la date d’ouverture fixée, l’autorisation est verbalisée sous la forme d’un arrêté municipal après le contrôle et l’avis de la commission de sécurité, la CCDSA (Commission consultative de sécurité et d’accessibilité).   À  ce titre, il est important de noter qu’omettre de consulter cette commission départementale peut mener à l’annulation d’un permis de construire. La Cour d’appel de Douai a déjà statué en ce sens et cette décision fait jurisprudence. Le tribunal avait considéré qu’une maison témoin est un établissement recevant du public car ouvert à une clientèle. Son permis de construire aurait dû être présenté, pour avis, à la CCDSA.   Une démarche simplifiée pour les ERP de 5ème catégorie :   Les ERP de la 5ème catégorie ont pour simple obligation de fournir une attestation sur l’honneur stipulant que l’ERP répond aux obligations instaurées par la loi. Un modèle d’attestation type est fourni par l’administration départementale et depuis juin 2018, il est aussi possible de télédéclarer l’accessibilité d’un établissement sur le site www.demarches-simplifiees.fr.   Avant toute déclaration sur l’honneur, les ouvrages de cette classe ont la possibilité d’effectuer un auto-diagnostic en ligne. L’outil permet de vérifier la bonne application de la réglementation selon la typologie de l’ERP (commerces de proximité, hôtels, restaurants et cabinets médicaux) mais n’est pas encore déployé pour toutes les typologies d’ERP.   Un protocole plus complexe pour les ERP de 1ère à 4ème catégorie   Après des travaux ayant fait l’objet d’un permis de construire, le gestionnaire doit obtenir une attestation de conformité délivrée par un contrôleur technique agréé ou un architecte, autre que celui qui a signé le permis de construire. L’article L 111-25 du Code de la construction et de l’habitation prévoit que “l’activité de contrôle technique est incompatible avec l’exercice de toute activité de conception, d’exécution ou d’expertise d’un ouvrage.”   Cette attestation doit accompagner la déclaration attestant l’achèvement et la conformité des travaux (DAACT). Ce formulaire Cerfa (13408*04) émane du ministère chargé de l’urbanisme et doit être transmis à la mairie de la commune concernée pour signaler la fin des travaux. Si les travaux sont effectués par tranche, il faudra fournir autant de DAACT qu’il y a de tranche de travaux à réaliser.  Le maire utilisera cette attestation pour autoriser ou non l’ouverture au public.   Nous tenions à remercier Monsieur Gaëtan de Coligny, chargé de mission accessibilité attaché à la DDTM de L’Eure, qui nous a guidé sur les bases législatives dans la rédaction de cet article.

On déplore encore aujourd’hui trop d’accidents liés aux explosions de poussières. Ces catastrophes largement répandues dans les milieux industriels ou agricoles doivent leurs origines aux microparticules organiques, inorganiques ou métalliques en suspension dans l’air.   Ralph Huguenin, expert dans la sécurité des bâtiments, revient sur le phénomène explosif et les facteurs aux origines des explosions de poussières. Il démontre, simulation à l’appui, la présence de ce risque industriel dans tous les environnements et les conséquences qu’il occasionne s'il n’est pas évalué ni anticipé.     Explosions de poussières Redoutables combustibles, les poussières, déchets pulvérulents ou moutures fines, présentent un très haut risque explosif lorsqu’ils entrent en contact simultanément avec un comburant, l’oxygène présent dans l’air, et une source de chaleur. Bien souvent cette énergie d’activation, catalyseur du phénomène de l’explosion, n’est rien d’autre qu’une simple étincelle ou une insidieuse charge électrostatique légèrement supérieure à la normale. L’embrasement du nuage de particules en suspension est alors inévitable et peut engendrer une explosion de plus grande dimension.   Ce phénomène est d’autant plus dommageable et grave si l’effet de souffle, dû à l’accumulation des gaz chauds, s’opère en espace clos. Les gaz dilatés par la chaleur de l’énergie d’activation se retrouvent sous pression et vont exiger davantage d’espace. Cette contrainte d’espace peut occasionner la destruction totale des ouvrages et augmente de facto les risques d’accidents humains et environnementaux.   Les explosions de poussières ne touchent pas que les environnements producteurs de particules fines Les explosions ne sont pas toutes liées aux poussières. Les solvants ou gaz hautement inflammables sont souvent à l’origine des déflagrations initiales. Cependant, ce schéma explosif est bien souvent suivi d’une explosion dite secondaire. Les poussières accumulées sur les surfaces sont remuées par l’explosion primaire et forment un nuage qui devient à son tour un nuage combustible prêt à s’embraser. Ce phénomène fréquent est souvent plus destructeur et plus difficile à contrôler.   Pourquoi étudier le risque explosif propre à un bâtiment avant de le protéger ? Qu’il s’agisse de farine ou de particules fines d’aluminium, chaque type de poussières se caractérise par un seuil d’embrassement. Le sucre, par exemple, s’enflamme dès 370 °C tandis que le blé s’embrase à partir de 500 °C.   Le phénomène explosif se produit lors de la confrontation d’un combustible à un air surchauffé mais il devient vraiment destructeur lorsque la zone où se produit cette transformation de l’état des matières est confiné par des murs, comme dans une usine ou un silo de stockage de grains (exploitation céréalière).   L’expansion des gaz chauds exerce une pression très forte et très rapide qui peut totalement souffler la structure du bâtiment si elle n’a pas été protégée en amont avec des solutions anti-déflagration.   Solutions d'anticipation anti-destruction Les évents d’explosion classiques de type disques de rupture ou panneaux soufflables sont construits avec des systèmes de visseries composés de boulons de cisaillement et de fixations éjectables, qu’ils convient de mettre en œuvre rigoureusement sur les zones sensibles d’un site.   Ces systèmes ne peuvent pas être testés ou vérifiés de façon non destructive. La seule façon de savoir s’ils sont correctement installés et fonctionnels est d’attendre une explosion. Cette caractéristique ne les rend à ce titre pas si sécurisant dans un environnement classé comme potentiellement explosible (zone Atex ou site Seveso).   A l’instar de ces solutions d’évacuation de la surpression, les murs fusibles cèdent sous l’augmentation de la pression interne et relâchent ainsi l’accumulation d’air chaud au moment critique de l’explosion. Toutefois, le caractère projectile résultant de la démolition reste dangereux pour l’homme.   De plus, toutes ces solutions nécessitent des travaux de reconstruction et de remplacement qui engendrent une perte d’exploitation.   L'unique solution anti-déflagration testable sur site Toutefois, il existe une alternative à ces solutions. Devenu expert avec plus de 35 ans d’expérience dans le domaine de la sécurité et de la ventilation, Construction Specialties a développé après des années de recherches et de collaboration avec le CanMet, les évents anti-déflagration Explovent®.   Explovent® sécurise et assure une maîtrise maximale de la gestion du risque industriel pour de nombreux bâtiments dans le monde grâce à une conception basée sur les principes du référentiel NFPA68 et les nombreuses conformités aux normes les plus rigoureuses. (matériel ATEX, CE, FM Approuved)   Plébiscité par de nombreux responsables HSE, les panneaux de soufflage Explovent® et le mécanisme breveté qui les compose est le seul système qui peut être réutilisé sans opération de maintenance et qui se teste à tout moment sur le site. La sécurité du bâtiment peut être contrôlée à tout moment grâce aux essais non destructifs du dispositif.   Calibré en usine, le mécanisme unique d’Explovent® assure une évacuation de la surpression pour protéger la structure des bâtiments face à une augmentation brusque de la pression interne dans le bâtiment. Après son usage, le système d’ouverture breveté, reprend progressivement sa position de sécurité pour laisser filtrer le volume d’air entrant et minimiser ainsi le risque d’implosion et d’explosion secondaire.

Construction Specialties (CS), leader mondial de produits de construction spécialisés, lance une gamme complète de grilles de ventilation de haute performance en France, en Italie et en Espagne. Pare-pluie, occultantes et acoustiques, l’offre pour la prescription est conçue pour répondre à toutes les exigences en matière de ventilation et de design des ouvrages.   Pionnier et fort de 60 années d'expérience dans la fabrication et la vente de grilles ventilation architecturales aux Etats-Unis et à destination du monde entier, CS déploie désormais son expertise et son soutien technique aux architectes et ingénieurs en France, en Italie et en Espagne, pour tout ce qui a trait aux spécifications des grilles. Cela inclut leur emplacement, l’exposition, la performance du débit d'air et l’apparence esthétique. D'autre part, CS accompagne les rédacteurs de cahiers des charges pour s'assurer que le dimensionnement des grilles mises en œuvre est en totale adéquation avec les exigences de débit d'air spécifiés par l'ingénieur.   Les grilles de ventilation de haute performance et dotées de fonction pare-pluie développées par CS offrent une combinaison aéraulique, de protection contre l’intrusion de la pluie et d'efficience dimensionnelle d’excellence. L’offre propose aussi des grilles de ventilation classiques, qui elles assurent un débit d'air maximal avec une certaine efficacité contre la pluie.    La gamme comprend également des finitions personnalisables telles que les options Bold Line et Perform qui offrent une liberté de conception et des opportunités esthétiques inédites pour la façade des bâtiments sans jamais compromettre les performances climatiques et aérauliques des grilles.   Au sujet de l'expansion de son offre en Europe, Karim Mawlawi, Directeur Commercial au Royaume-Uni et spécialiste d’étude aéraulique, chez CS a déclaré : « L'expansion de notre gamme de grilles de ventilation en France, en Italie et en Espagne représente une belle opportunité et constitue un développement très intéressant pour notre groupe qui a été fondé sur la fabrication de ces produits. Notre connaissance des produits et nos tests consciencieux nous permettent de proposer des produits de haute performance, capables d'offrir à la fois la protection contre la pluie et le débit d'air requis pour n'importe quel bâtiment. »   Testés par des laboratoires tiers, conformément à la norme EN 13030:2001, les grilles de ventilation CS sont évaluées en fonction de deux critères de performance clés : la capacité de la grille à limiter la pénétration de la pluie et son efficacité aéraulique. Il s'en suit une catégorisation des performances globales. Ce processus simplifie la recherche d'une solution de ventilation adaptée aux besoins du bâtiment.   Les grilles de ventilation de CS ont été installées avec succès dans bon nombre des bâtiments, parmi les plus prestigieux au monde, comme le World Trade Center à New York, le campus d'ingénierie de Manchester au Royaume-Uni et dans les centres de données Noris Network à Nuremberg et Munich, en Allemagne.   Pour en savoir plus visitez la page Grilles de ventilation CS ou contactez-le +33 (0)2 32 67 14 40  

Depuis plus de 50 ans, Construction Specialties conçoit une matière unique et surprenante : Acrovyn® Elle protège et décore durablement l’intérieur des ouvrages pour y vivre pleinement.   Réputé pour sa durabilité, Acrovyn offre des possibilités illimitées aux architectes et designers. La gamme propose un choix de modèles et de matériaux variés, ainsi qu'une palette de couleurs, de finitions et de textures étendues et actualisées pour mettre en valeur et protéger une grande diversité d'intérieurs. Design. La gamme Acrovyn® offre aux designers et aux propriétaires des solutions murales faciles à entretenir et décoratives pour protéger durablement l’intérieur des bâtiments.   Decorate. Notre nouvelle palette de couleurs et d’effets décoratifs est inspirée des dernières tendances de la décoration d’intérieur. Elle offre une multitude de façons d’exprimer sa créativité et permet d’aménager de sublimes intérieurs.   Protect. Reconnue pour sa qualité de fabrication, sa résistance aux chocs ainsi que sa facilité d’entretien déconcertante, la matière Acrovyn® offre une protection à toute épreuve et durable pour tous les intérieurs.

L'excellence en matière de qualité est un objectif que visent beaucoup d'entreprises, mais il n'est pas toujours prouvé ou ressenti. Au sein de Construction Specialties (CS), cet engagement en faveur d'un management supérieur de la qualité est primordial et se doit d'être ressenti par nos clients mais aussi par les usagers des bâtiments que nous protégeons. La certification ISO 9001 est une référence en matière de management de la qualité d'une organisation avec plus de 1 millions d'entreprises certifiées dans le monde. Si de nombreuses entreprises possèdent la certification ISO 9001, le principal facteur de différentiation réside dans la façon dont elles adoptent et mettent en œuvre les processus de qualité au sein de l'organisation pour répondre aux normes de management de la qualité ISO 9001 Nos méthodes de contrôle de la qualité sont basées sur des engagements fondamentaux : Nos clients : chaque client et chaque projet est différent. Nous voulons vraiment collaborer avec nos clients de la manière la plus efficace possible afin de leur proposer les produits adéquats dans les délais impartis, à chaque fois Innover et toujours chercher les meilleurs solutions : en tant que leader du marché de la fabrication de produits de construction architecturaux spécifiques, nous nous engageons à élaborer avec nos clients des solutions uniques à des problèmes de construction complexes et à fournir des produits répondant aux critères de qualité les plus élevés Nos équipes : fournir les outils les plus adaptés à nos collaborateurs contribue à améliorer les échanges et l'accompagnement de nos clients tout au long des différentes phases des projets. Et nous mettons tout en œuvre pour offrir un service client d'excellence. L'excellence opérationnelle : en parallèle d'une fabrication locale de produits de haute performance, nous continuons de travailler pour améliorer notre fonctionnement opérationnel en interne pour toujours améliorer la qualité de service pour vos projets. L'ensemble de nos processus à l'instar de nos produits sont soumis à des méthodes et processus d'amélioration continue, adoptés pour répondre aux normes de gestion de la qualité ISO 9001. Ils sont pour nous la garantie d'un fonctionnement plus efficient, et nous servent à fournir des produits architecturaux qui améliorent la sécurité, l'esthétique et le cycle des vie des bâtiments. Nous sommes fiers de vous annoncer notre certification ISO 9001: 2015.

Contrairement aux systèmes DENFC classiques, APC Dayliter™ est le seul dispositif de désenfumage qui se déclenche automatiquement et systématiquement dès le départ d'un incendie.   La membrane thermo-réactive de son dôme breveté réagit à l'augmentation de la chaleur et libère ainsi les fumées et la chaleur dès que la température intérieure atteint 104°C.   Particulièrement adaptées aux industries et aux entrepôts de stockage, les dispositifs de désenfumage APC Dayliter® sont conformes aux réglementations au regard la norme UL listed 793 et suivent les recommandations telle que l'ICB (Section 910.2) et NFPA.   Spécificités techniques du DENFC APC Dayliter® :   Jusqu'à 92% de la lumière naturelle transmise Réaction de la membrane et changement d'état dès 82°C Ouverture totale du dôme en moins de 5 minutes après un départ de l'incendie Compatible avec les systèmes sprinklers y compris ESFR (modèle APC Dayliter® AFL) Aucune maintenance ou révision nécessaire une fois le DENFC installé Le dispositif APC Dayliter® est disponible en 6 dimensions standards et propose 4 formats surdimensionnés