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97% D’ÉMISSIONS DE CO2 EN MOINS GRÂCE AU RECYCLAGE DES MEMBRANES DE TOITURE EN PVC : L’EXPÉRIENCE DE RENOLIT ALKORPLAN EN FINLANDE Actualité du
Une équipe multinationale dirigée par la division RENOLIT ALKORPLAN Roofing Products a remplacé 11 000 m2 de membrane PVC de la toiture du centre des expositions et les a envoyés à une usine de recyclage en Allemagne. Comparé à l’incinération, les économies réalisées représentent 33 % et 97 % d’émissions de CO2 en moins.
Sant Celoni, Barcelone, XXXX 2022 - Le recyclage de membranes synthétiques usagées d’un toit comporte des avantages économiques et environnementaux non négligeables. Y compris si l’usine de recyclage ne se situe pas directement aux abords du toit en question. C’est l’enseignement qui nous vient de Tampere, en Finlande, où 11 000 m2 de membranes PVC usagées du toit d’un centre des expositions ont été découpés en petits morceaux avant d’être transportés en Allemagne puis recyclés pour ensuite être réutilisés dans le secteur de la construction.
Le projet a mobilisé la division RENOLIT ALKORPLAN Roofinf Products, l’installateur Suomen Teollisuuskatot Oy, entreprise reconnue sur le marché comme spécialiste PVC et pour son habileté à gérer des projets complexes, et Ekopartnerit Turku Oy, entreprise spécialisée dans la gestion et le recyclage des déchets et les transports spéciaux. L’opération a été réalisée par l’intermédiaire d’ESWA (l’association des producteurs européens de membrane d’étanchéité) et du projet RoofCollect, une initiative européenne fondée par des industriels, dont RENOLIT, pour recycler les membranes d’étanchéité synthétique en PVC.
Édifié en 1985, l’un des édifices du centre polyvalent de Tampere nécessitait un nouveau toit. Une opération délicate pour cette construction composée d’un toit voûté en bois avec des côtés très inclinés. Il a été nécessaire de procéder par étape en retirant de petites portions de membrane et en les remplaçant immédiatement par la membrane RENOLIT ALKORPLAN. Cependant, les morceaux de membrane n’ont pas été éliminés dans des décharges ou incinérés, comme il est d’usage en Finlande, mais après avoir été découpés et conditionnés, ils ont été transportés à une usine de recyclage dans l’État de Saxe, Allemagne, à environ deux mille kilomètres de là.
Des études spécifiques ont démontré qu’il s’agissait de la meilleure solution, du point de vue économique et environnemental. Jennifer Che, responsable du développement durable de la division RENOLIT ALKORPLAN Roofing Products, a prouvé, chiffres à l’appui, que le transport du PVC en vue de son recyclage a une incidence bien plus faible sur le climat (97 % d’émissions de CO2 en moins) que son incinération. Il s’agit de plus de 57 000 kg d’émissions de CO2 en moins, ce qui équivaut aux émissions d’un passager sur 57 vols Paris-New-York ou aux émissions de deux personnes durant toute leur vie. Il faudrait planter environ 160 arbres pour absorber ce niveau de CO2.
De plus, selon les calculs réalisés par Tomi Norrby, propriétaire de Suomen Teollisuuskatot Oy, l’opération de recyclage a également été économiquement avantageuse. Le coût total du recyclage a été inférieur à n’importe quelle autre solution de mise en décharge (-1 %) ou d’incinération (-33 %!). Et de déclarer : « Les premières membranes de toiture en PVC ont aujourd’hui entre 35 et 40 ans, elles ont besoin d’être remplacées et, nous l’espérons, le recyclage de ces membranes va s’accroître au cours des prochaines années. Nous allons assurément continuer à recycler.
Cela n’a aucun sens de brûler ou d’enfouir les membranes usagées. On leur offre une nouvelle vie en tant que nouveau produit ». Selon Bernard Merkx, directeur général d’ESWA, dans le cadre du programme RoofCollect : « Le projet Tampere illustre parfaitement la volonté des couvreurs de se démarquer. Ils auraient pu se tourner vers l’incinération des membranes mais ont opté pour le recyclage mécanique. Tout ce que nous ferons aujourd’hui pourra encore être recyclé d’ici vingt ou trente ans, nous continuerons donc d’utiliser les mêmes matériaux. C’est le principe de l’économie circulaire ».
L’équipe multinationale dirigée par RENOLIT ALKORPLAN Roofing Products a montré au monde entier que recycler le PVC est la meilleure solution pour l’environnement mais aussi pour la poche des industriels du secteur.
https://youtu.be/g7xPd2ZZDWc
Sant Celoni, Barcelone, XXXX 2022 - Le recyclage de membranes synthétiques usagées d’un toit comporte des avantages économiques et environnementaux non négligeables. Y compris si l’usine de recyclage ne se situe pas directement aux abords du toit en question. C’est l’enseignement qui nous vient de Tampere, en Finlande, où 11 000 m2 de membranes PVC usagées du toit d’un centre des expositions ont été découpés en petits morceaux avant d’être transportés en Allemagne puis recyclés pour ensuite être réutilisés dans le secteur de la construction.
Le projet a mobilisé la division RENOLIT ALKORPLAN Roofinf Products, l’installateur Suomen Teollisuuskatot Oy, entreprise reconnue sur le marché comme spécialiste PVC et pour son habileté à gérer des projets complexes, et Ekopartnerit Turku Oy, entreprise spécialisée dans la gestion et le recyclage des déchets et les transports spéciaux. L’opération a été réalisée par l’intermédiaire d’ESWA (l’association des producteurs européens de membrane d’étanchéité) et du projet RoofCollect, une initiative européenne fondée par des industriels, dont RENOLIT, pour recycler les membranes d’étanchéité synthétique en PVC.
Édifié en 1985, l’un des édifices du centre polyvalent de Tampere nécessitait un nouveau toit. Une opération délicate pour cette construction composée d’un toit voûté en bois avec des côtés très inclinés. Il a été nécessaire de procéder par étape en retirant de petites portions de membrane et en les remplaçant immédiatement par la membrane RENOLIT ALKORPLAN. Cependant, les morceaux de membrane n’ont pas été éliminés dans des décharges ou incinérés, comme il est d’usage en Finlande, mais après avoir été découpés et conditionnés, ils ont été transportés à une usine de recyclage dans l’État de Saxe, Allemagne, à environ deux mille kilomètres de là.
Des études spécifiques ont démontré qu’il s’agissait de la meilleure solution, du point de vue économique et environnemental. Jennifer Che, responsable du développement durable de la division RENOLIT ALKORPLAN Roofing Products, a prouvé, chiffres à l’appui, que le transport du PVC en vue de son recyclage a une incidence bien plus faible sur le climat (97 % d’émissions de CO2 en moins) que son incinération. Il s’agit de plus de 57 000 kg d’émissions de CO2 en moins, ce qui équivaut aux émissions d’un passager sur 57 vols Paris-New-York ou aux émissions de deux personnes durant toute leur vie. Il faudrait planter environ 160 arbres pour absorber ce niveau de CO2.
De plus, selon les calculs réalisés par Tomi Norrby, propriétaire de Suomen Teollisuuskatot Oy, l’opération de recyclage a également été économiquement avantageuse. Le coût total du recyclage a été inférieur à n’importe quelle autre solution de mise en décharge (-1 %) ou d’incinération (-33 %!). Et de déclarer : « Les premières membranes de toiture en PVC ont aujourd’hui entre 35 et 40 ans, elles ont besoin d’être remplacées et, nous l’espérons, le recyclage de ces membranes va s’accroître au cours des prochaines années. Nous allons assurément continuer à recycler.
Cela n’a aucun sens de brûler ou d’enfouir les membranes usagées. On leur offre une nouvelle vie en tant que nouveau produit ». Selon Bernard Merkx, directeur général d’ESWA, dans le cadre du programme RoofCollect : « Le projet Tampere illustre parfaitement la volonté des couvreurs de se démarquer. Ils auraient pu se tourner vers l’incinération des membranes mais ont opté pour le recyclage mécanique. Tout ce que nous ferons aujourd’hui pourra encore être recyclé d’ici vingt ou trente ans, nous continuerons donc d’utiliser les mêmes matériaux. C’est le principe de l’économie circulaire ».
L’équipe multinationale dirigée par RENOLIT ALKORPLAN Roofing Products a montré au monde entier que recycler le PVC est la meilleure solution pour l’environnement mais aussi pour la poche des industriels du secteur.
https://youtu.be/g7xPd2ZZDWc